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Qualité de la photo argentique en 4×5″

Dès que l’on parle de la qualité de la photo argentique, pour beaucoup d’amateurs, le top en photographie, c’est le 24×36 mm en photo argentique, comme en photo numérique.

Si vous n’avez jamais ressenti l’extraordinaire qualité du film argentique, rendez-vous à cette adresse ci-dessous.

Les photos sont réalisées à la chambre 4×5″.

Photo 4x5" de 1940
Une série de photo des années 40 !
D’une qualité à couper le souffle !
Celle-ci est réduite et ne donne pas le rendu
de ce que vous allez trouver en cliquant sur le lien ci-dessous !

C’est à dire que le négatif ou la diapositive mesure 10 cm x 12,5 cm.
Notez la définition extraordinaire dues à la conjonction d’une excellente pellicule, d’un excellent objectif et d’un bon éclairage.

Un autre exemple de photo en plan-film 4x5"
Un autre exemple de photo en plan-film 4×5″

Imaginez ce que l’on peut obtenir avec des films 8×10″, soit un film de 20×25 cm !

Découvrez la très haute qualité photo !

Cliquez sur ce lien, vous allez découvrir la très grande richesse de la photo argentique à la chambre grand format, chambre 4×5″.

De tels films étaient souvent utilisés en macrophotographie, photos de bijoux, architecture notamment.

Peut-être comprendrez-vous pourquoi certains amoureux de belles photo trainent les pieds pour quitter la photo argentique au profit de la photo numérique.

Passer du 24×36 au 4×5″, c’est comparer une Fiat 500 à une Ferrari… elles sont Italiennes toutes les deux et peuvent transporter des passagers… mais rien n’égale le plaisir et la qualité de la photo argentique en 4×5″… sauf en 20cm x 25cm !
Un délire !

Mais on est dans deux mondes bien différents !

Aujourd’hui, pour les amoureux de la photo, on peut se procurer des appareils de prise de vue inabordables autrefois à des prix plus que raisonnable, sur le marché de l’occasion…

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22 Commentaires

  1. Au regard de de ces photos, on peut que reconnaître la bonne maîtrise ( ou compétence ) du photographe: bonne gestion des lumières, des couleurs étonnantes, une netteté implacable, une excellent composition.

  2. Entièrement d’accord avec vous, bien que n’ayant pas touché aux films grand format.
    Cela dit je suis repassé du numérique vers l’argentique (en 24×36) pour cette qualité d’image, cette richesse dans les contrastes, les tons, les divers films et ressentis qu’ils procurent. Tout cela sans avoir à retoucher à tout va et en ayant une image tangible, plus humaine dans le grain que les pixels très mathématiques.

    Je ne suis qu’un humble amateur anonyme, mais je sais ce que j’aime ressentir et partager.

    Votre lien renvoie effectivement fers une série de très belles images, qu’on n’imagine pas dater de plus d’un demi siècle !
    Je regrette juste qu’on ne puisse pas les visionner en « haute définition », j’entend pas là pouvoir agrandir considérablement pour scruter les moindres détails qui échappent au premier coup d’oeil ; ce que j’adore faire 🙂

  3. Je viens de visiter le site des photos des années 1942. Belle définition ! Mais bon, le numérique est quand même plus pratique. J’ai pratiqué longtemps la photographie avec un argentique et j’en étais très contente.

    Chantal

  4. Toujours aussi impressionnantes en qualité les anciennes photos. Qui sait ? Peut-être que cela reviendra un jour. D’autant plus que le retro revient un peu à la mode (qui as dit faux-retro ou effet de mode ?).

  5. Bonjour Patrick,
    Il est vrai que voir autant de détails sur des photo est vraiment époustouflant.
    Ce WE j’ai été visiter une galerie ou quelques photos de Larry Yust, entre autre, sont exposées et j’ai également bluffé par la netteté de tous les détails de ses clichés panoramiques.
    Savez vous quel appareil et quelle technique il utilise?

    1. Pour Larry Yust, je ne sais pas. J’ai vu par hasard des clichés d’un photographe allemand (dont je n’ai pas connu le nom, étant tombé en cours de reportage un soir sur Arté) dans une démarche technique assez similaire. Il travaillait à la chambre Sinar 4×5.

  6. Dire « extra » c’est pas assez. Il y a rien à dire et tant à dire… Spécialement si on voit la qualité ou « non qualité » des images de début de l’informatique et ça peut arriver encore maintenant . En bref le matériel est primordial mais l’oeil de photographe doit être au top pour voir les résultats présentés. En tout cas on a un plaisir très grand et on savoure…

  7. Bonjour Patrick
    fantastique! voila les photos que j’aime . tout y est l’atmosphere incomparble et typique des ces années là , quelle atmosphere!, la qaulité en effet du détail…voir les mains ..
    Meric!

  8. Superbe série, mais cela est d’une autre époque.
    Quant à nous il ne nous reste plus que le numérique qui progresse à très grands pas.

  9. Bonsoir Laurent

    Elles sont magnifique et j’admire aussi le travail
    du photographe.(ou des photographes?)
    Les éclairages sont parfaits. Les visages sont
    mis en valeur par une lumière dosée et orientée
    avec une très grande justesse.

    L’angle choisi ne doit rien au hasard….ou est en tout cas le fruit
    d’une compétence acquise ou innée vraiment remarquable.
    On dirait qu’il a lu et appliqué tous les articles -passés et à venir –
    de « comment apprendre la photo »;)

    Je te souhaite une bonne soirée
    Xavier

  10. Bonsoir,

    Il y a près de 70 ans, on pouvait obtenir de photos d’une qualité remarquable et que beaucoup de réflex envieraient (enfin les ingénieurs qui en conçoivent la partie matérielle et logicielle).

    Comme quoi le numérique doit rester humble devant la physique et la chimie de l’argentique. Comme quoi les sels d’argent quand on maîtrisait l’alchimie de toute la chaîne argentique (de la plaque 10 cm sur 12,5 jusqu’au choix du papier et des bains révélateurs et fixateurs ; sans parler du coût), la qualité était au rendez-vous.

    Qu’est-que nous avons avec un réflex (full frame ou autre) ?

    – Dans la course aux pixels concentrés sur un capteur et que les gens du marketing confondent dans un savant amalgame avec les photosites, aucun algorithme n’arrivera à compenser les espaces existants entre chaque photosite par des nuances approximatives.
    – Sauf plus ample informé, le béotien que je suis, pense qu’il faut 4 photosites implantés sur un capteur pour traduire en numérique une nuance (valeur) de couleur par un pixel, avec une dominante pour la couleur verte (que les spécialistes corrigent mes explications d’amateur curieux).
    – A ce sujet, j’aimerais d’ailleurs savoir quelle surface de capteur (prenons un 24 x 36) est occupée par l’implantation de photosites (prenons 16 millions) et quelle surface de ce même capteur est interprétée de manière logicielle (je veux parler des interstices existants entre chaque photosite) ; sachant que les photosites situés sur les bords du capteurs servent aux différents réglages de la mise au point.
    – Est-ce que le moiré (ou le moirage) des photos (prenons le format jpeg pour simplifier) est dû à ces espaces entre les photosites interprétés par voie logicielle ?

    Ne croyez surtout pas que je dénigre le numérique au profit de l’argentique. Mais utiliser un réflex numérique sans optique adaptée ni maîtrise du pilotage des différents modes, boutons et fonctions de menu, c’est comme confier une voiture de course à un conducteur lambda sans compétence (savoir + savoir-faire + savoir être).

    Bref, le photographe du temps de l’argentique était un professionnel, parfois un virtuose, reconnu. Alors que de nos jour des APN sophistiqués et des logiciels nous permettent de faire des photos (du quantitatif) à défaut de faire de LA photo.
    Et chaque marque (enfin presque) élabore sa propre cuisine avec des rendus de couleurs et des manipulations différentes. Je cois que pour certains puristes, l’argentique demeure la voie de la qualité pour de nombreuses années encore. Quand on aime, on ne compte pas.

    1. Le moirage sur certaines structures (particulièrement sur le tissu) est dû à des interférences entre la « grille » du tissu et la « grille » du capteur en forme de grille type mots croisés.
      Pour y remédier, certains appareils moyen-format et grand-format permettent de prendre plusieurs photos avec un décalage du capteur de 1pixel à chaque prise.
      Ensuite un traitement logiciel aboutit à la photo finale.
      C’est le seul moyen que je connaisse actuellement permettant des photos sans aucun effet de moirage et sans aucune perte de définition.
      Plusieurs appareils proposent des solutions purement logicielles peu satisfaisantes avec un effet désagréable de moutonnement.

  11. C’est tout simplement époustouflant, magnifique heuuu splendide, je n’ai plus de mots, pas assez de mes yeux pour admirer ces oeuvres!
    Merci Patrick.

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